1. |
Protège-moi
03:12
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Protège-moi
Ô toi, s’il te plait, ne pars pas
Ô toi, reste encore avec moi
Ô toi, ne m’abandonne pas
Toi qui ne vieillis pas.
Tu es ma joie, grâce à toi je danse
Ma loi, celle de l’insouciance
Ma foi, tu m’offres du sens
Mon roi, Ô toi, mon enfance !
Ivre au point
De sourire à la mort
Vivre plus loin
Plus grand, plus haut, plus fort !
Voici le destin
Que tu chantes à mes oreilles
Voici le refrain
Qui me hante et m’émerveille
Ô toi, cet enfant que je garde au fond de moi
Ô toi, mon enfant
Protège-moi.
Ô toi, au milieu du tumulte
Toi, tu reçois des insultes
Toi, de tous ceux dont le culte
Rime avec adulte
Ô toi, je veux toujours t’entendre
Ta voie, pouvoir toujours la prendre
Ton doigt doit toujours se tendre
Ta voix, toujours me surprendre
Ivre au point
De sourire à la vie
Suivre plus loin
Ses désirs, ses folies
Voici le destin
Que tu chantes à mes oreilles
Voici le refrain
Qui me hante et m’émerveille
Ô toi, cet enfant que je garde au fond de moi
Ô toi, mon enfant
Protège-moi
Ô toi, s’il te plait, ne meurs pas
Ô toi, reste encore avec moi
Ô toi, ne m’abandonne pas
Toi qui ne vieillis pas.
Tu es ma joie, grâce à toi je danse
Ma loi, celle de l’insouciance
Ma foi, tu m’offres du sens
Mon roi, Ô toi, mon enfance !
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2. |
Je te salue
02:51
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Je te salue
Je te salue toi
Qui as encore du cœur
Je te salue toi
Qui ne peux pas tricher
Je te salue toi
Qui ressens mes malheurs
Je te salue toi
Qui peux même en pleurer
Ne crois surtout pas qu’il faut te faire soigner
Si nulle part tu es chez toi, dans cette société
Ne te laisses pas piéger par cette
mascarade,
C’est elle, pas toi, qui est malade
Je te salue toi
Qui n’aimes pas juger
Je te salue toi
Qui sais sécher les larmes
Je te salue toi
Sur qui on peut compter
Je te salue toi
Qui as baissé les armes
Ne crois surtout pas que c’est toi qui es malade
Si tu ne supportes pas cette grande mascarade
Tu ne peux t’adapter à cette société C’est elle, pas toi, qu’il faut changer
Je te salue toi
Qui pour un rien peux tomber
Je te salue toi
Qui pour le bien te relèves
Je te salue toi
Pour qui un lien est sacré
Je te salue toi
Qui pour les tiens te soulèves
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3. |
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Fous-toi la paix
Pourquoi désires-tu plaire à tout le monde ?
Interroge-toi rien qu’une seconde
Pour tous, tu veux être idéal
Et tu te lisses, et tu te rends normal
Tu te tords alors à tort, dans tous les sens
Parce que tu as peur à mort de ce que les gens pensent
Partout... au travail, en famille, en amour
Tu veux donner de toi une belle image, toujours
Fous-toi la paix
Tu te nies, te dénies, te renies
Ni ça te rend heureux ni ça t’ épanouit
Tu étouffes au fin fond de ta cage
Thoracique, tu te réveilleras en nage
Car jamais au sérieux tu n’accordes une trêve
Ne prends pas ta réalité pour des rêves
Tu oublies que l’âme descend du songe
Garde tes pieds sur l’air et ris de tes mensonges
Fous-toi la paix
Jamais tu dévies par envie dans ta vie
Ton chemin à toi l’as tu vraiment choisi ?
Sans arrêt tu te mets la pression
J’ai bien l’impression que tu es en dépression
Tu t’interdis de sortir du sillon
Mais qui vit sans folie n’a pas toute sa raison
À force d’écouter tous ces bruits dans ta tête
Tu ne peux qu’exploser
Un petit conseil, arrête !
Fous-toi la paix enfin, essaie…
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4. |
Crois-tu avoir le temps
03:45
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Crois-tu avoir le temps
Crois-tu avoir le temps
De discuter, te disputer, de rechercher à t’imposer ?
Crois-tu seulement avoir ce temps ?
Crois tu avoir le temps
De t’énerver et d’exploser, d’abandonner et de pleurer ?
Que te dit ton cœur à présent ?
Tu as le temps de donner
Redonner, pardonner, embrasser
En un mot, tu as seulement le temps d’aimer
Tu as le temps de lier
Relier, concilier, enlacer
En un mot, tu as seulement le temps d’aimer
Crois tu avoir le temps
De reprocher, de regretter et d’espérer d’autres passés ?
Crois-tu seulement avoir ce temps ? Crois tu avoir le temps
De tant souffrir jusqu’à haïr et le maudire ton avenir ?
Que te dit ton cœur à présent ?
Tu as le temps de donner
Redonner, pardonner, embrasser
En un mot, tu as seulement le temps d’aimer
Tu as le temps de lier
Relier, concilier, enlacer
En un mot, tu as seulement le temps d’aimer
Crois tu avoir le temps
De ruminer et de penser et repenser à te venger ?
Crois-tu seulement avoir ce temps ?
Crois tu avoir le temps
De manœuvrer, de comploter, de diviser, de détester ?
Que te dit ton cœur à présent ?
Tu as le temps de donner
Redonner, pardonner, embrasser
En un mot, tu as seulement le temps d’aimer
Tu as le temps de lier
Relier, concilier, enlacer
En un mot, tu as seulement le temps d’aimer
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5. |
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Il est des moments dans ta vie
Il est des moments dans ta vie
Où tu sens que c’est fini
Mais où tu n’as pas le courage
De reconnaître ton naufrage
Il est des moments dans ta vie
Où tout ressemble à l’ennui
Mais où tu préfères en mourir
Bien plutôt que de te dire
Va, je veux que tu tournes la page
Quels que soient les orages...
Va et ne reviens pas !
Va, je veux que tu tournes la page
Quels que soient les dommages
Ne te retourne pas
Il est des moments dans ta vie
Où tu as perdu toute envie
Même celle de faire tes bagages
Un rien peut te prendre en otage
Il est des moments dans ta vie
Où tu sais que tout est dit
Tous les mots, les mots de trop
Les gros, mais pas ceux qu’il faut
Va, je veux que tu tournes la page,
Quels que soient les orages
Va et ne reviens pas
Va, je veux que tu tournes la page
Quels que soient les dommages
Ne te retourne pas
Il est des moments dans ta vie
Où tu t’inspires du mépris
Quand tu souhaites quitter ta cage
Mais que tu y restes bien sage
Il est des moments dans ta vie
Où tu n’as plus d’énergie
Tu as peur de décider
Mais tu commences à murmurer
Va, je veux que tu tournes la page,
Quels que soient les orages
Va et ne reviens pas
Va, je veux que tu tournes la page
Quels que soient les dommages
Ne te retourne pas
Il est des moments dans ta vie
Où tu te réconcilies
Avec un nouveau visage
Pour visiter d’autres rivages
Et il est des moments bénis
D’un rendez-vous avec la vie
La joie de pouvoir dire « je veux,
Bonjour, merci ou bien adieu »
Va, je veux que tu tournes la page,
Quels que soient les orages
Va et ne reviens pas
Va, je veux que tu tournes la page
Quels que soient les dommages
Ne te retourne pas
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6. |
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Tu laisseras couler tes larmes
Tu laisseras couler tes larmes
Pour qu’elles viennent arroser tes lèvres
Et que la vie retrouve ses charmes
Ses désirs, ses envies, ses fièvres
Tu laisseras couler tes larmes
Pour qu’elles t’aident à faire refleurir…
Un petit bout de ton sourire
Tu laisseras couler tes pleurs
Pour qu’ils emportent loin de toi
Tes peurs tes peines et tes douleurs
Pour laisser la place à la joie
Tu laisseras couler tes pleurs
Pour pouvoir le reconquérir
Cet autre bout de ton sourire
Tu laisseras couler tes ombres
Qu’elles servent d’engrais à ta terre
Et que plus jamais rien n’encombre
Le scintillement de ta lumière
Tu laisseras couler tes ombres
Pour aimer le voir resurgir
Le dernier bout de ton sourire
Tu laisseras couler tes larmes
Pour qu’elles viennent arroser tes lèvres
Et que la vie retrouve ses charmes
Ses désirs, ses envies, ses fièvres
Tu laisseras couler tes larmes
Pour qu’elles t’aident à faire refleurir…
Ton sourire
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7. |
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Redonner des couleurs à ton cœur
Je ne te connais pas, je ne t’ai jamais vue
Mais je sais bien combien tu as souffert dans ta vie
Je ne te connais pas, pourtant je suis ému
Car je sens bien combien tu as été trahie
Je ne peux… empêcher mes yeux
De te lire sans juger
De te dire, te souhaiter
De redonner des couleurs à ton cœur
Pour qu’il rayonne, qu’il éclaire
Transformer tes douleurs en lueurs
Tes colères en lumière
Je ne te connais pas, je ne t’ai jamais vue
Mais je vois bien combien tu t’es sentie rejetée
Je ne te connais pas, pourtant je suis ému
Car j’entends bien combien on t’a abandonnée
Je ne peux… empêcher mes yeux
De te lire sans juger
De te dire, te souhaiter
De redonner des couleurs à ton cœur
Pour qu’il rayonne, qu’il éclaire
Transformer tes douleurs en lueurs
Tes colères en lumière
Je ne te connais pas, je ne t’ai jamais vue
Mais je devine bien combien tu as été blessée
Je ne te connais pas, pourtant je suis ému
Mais je ne sais rien de ce qui t’est arrivé
Je ne peux… empêcher mes yeux
De te lire sans juger
De te dire, te souhaiter
De redonner des couleurs à ton cœur
Pour qu’il rayonne, qu’il éclaire
Transformer tes douleurs en lueurs
Tes colères en lumière
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8. |
Barakallahoufik
03:57
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|||
Barakallahoufik
Mon frère, j’avais rien à manger
Mon frère, nos routes se sont croisées
Mon frère, tu ne me connaissais pas
Mon frère, tu m’invitais chez toi
Mon frère, un soir de ramadan
Mon frère, tu répétais tout le temps
Mon frère, « Sers-toi ! Ne demande pas ! »
Mon frère, «Tu es ici chez toi.»
Comme j’aimerais être un bon génie Khouya, mon frère, mon ami
Pouvoir exhausser tes vœux d’une formule magique
Mais je ne le suis pas alors je chante le mot appris
Au cœur de ta maison, Barakallahoufik
Mon frère, tu as lu sous mon sourire
Mon frère, que je ne savais plus rire
Mon frère, dans tes yeux la chaleur
Mon frère, a réveillé mon cœur
Mon frère, un soir de Ramadan
Mon frère, la musique tout le temps
Mon frère, ce chant à l’infini
Mon frère, Billah ya Hamami
Comme j’aimerais être un bon génie Khouya, mon frère, mon ami
Pouvoir exaucer tes vœux d’une formule magique
Mais je ne le suis pas alors je chante le mot appris
Au cœur de ta maison, Barakallahoufik
Mon frère, j’avais pas où dormir
Mon frère, pas besoin de le dire
Mon frère, tu m’as fait une place
Mon frère, bien plus belle qu’un palace
Mon frère, ce soir de Ramadan
Mon frère, traversera le temps
Mon frère, combien tu m’as surpris
Au moment des adieux, c’est toi qui as dit merci
Comme je voulais être un bon génie Khouya, mon frère, mon ami
Mais c’est toi qui as eu pour moi, une formule magique
Car au cœur de ta maison, une nouvelle chance m’a souri
Merci, Barakallahoufik
Comme je voulais être un bon génie Khouya, mon frère, mon ami
Mais c’est toi qui as eu pour moi, une formule magique
Car au cœur de ta maison, j’ai réappris à dire merci
Merci, Barakallahoufik
Merci !
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9. |
Marionnette
03:41
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Marionnette
Quand tu t’en es rendue compte,
Je ne sais pas ce que tu as ressenti
De la douleur, de la honte
De la colère ou du mépris
Mais quand tu as vu le premier
Accroché à ton bras
Je t’ai aperçue le toiser
Bizarrement, de haut en bas
Je crois comme toi… Marionnette,
qu’il me faut les arracher
Mes fils… Marionnette, pour gagner
ma liberté
Puis ton regard s’est posé
Lentement sur le deuxième
Il était là, à tes pieds
Mais pas pour te dire « je t’aime »
Alors tu as essayé
De le tirer vers le haut
Bien sûr, ce qui a bougé,
Ce fut ta jambe, aussitôt
Je crois comme toi… Marionnette,
qu’il me faut les arracher
Mes fils… Marionnette,
tous mes fils jusqu’au dernier
Un a un, tu les as vus
Celui de ta bouche, de ton nez
De ton coude et de ton cul
Et puis, le fil de ta pensée
Celui-là, tu l’as suivi
Pour sortir du labyrinthe
Et alors tu as souri
Cette joie-là n’était pas feinte
Je crois comme toi… Marionnette,
qu’il me faut les arracher
Mes fils… Marionnette, au risque
de me voir chuter
Dieu seul sait s’il te l’a inspiré
à moins que ce ne fût le diable
Cette horrible ou merveilleuse idée
Qui t’a fait péter un câble
D’un coup sec, tu as brisé
Ton premier enchainement
Et cela a libéré
Un “je ne sais quoi” dans tes mouvements
Alors tu t’es attaquée
Au plus glorieux de tes fils
Sans regret, tu as coupé
Celui qui part de ton nombril
Chaque attache fut arrachée
Non sans un certain plaisir
Tous les fils, jusqu’au dernier
Furent tranchés par ton sourire
Et quand l’ultime lien lâcha
Le fil du temps s’est arrêté…
Suspendus, nous étions là
Les autres à rire, les uns à pleurer
Je sais que certains t’ont vue tomber,
Marionnette, brisant l’espoir
Mais pour moi, tu t’es envolée
Envolée vers le grand soir
Plus que jamais, Marionnette
Je crois qu’il faut les arracher
Les fils… Marionnette
Ils nous empêchent d’avancer
|
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10. |
Chante Chante
03:14
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|||
Chante chante
Chante, chante pour tenir le coup
Chante comme un enfant un fou
Chante pour sentir qu’il ne t’a pas abandonnée
Chante, sans mentir, il est dans la pièce à côté
Et que ce foutu canal lacrymal
En vienne à se tarir
Pour enfin rire
Chante, chante pour tenir debout
Chante à te tordre le cou
Chante tout ton fiel pour extirper tous tes malheurs
Chante face au ciel pour le rendre léger, ton cœur
Et que ce foutu canal lacrymal
En vienne à se tarir
Pour enfin rire
Chante, chante pour tenir la proue
Chante, chante, chante tout ton saoul
Chante avec la vie, tu t’es enfin réconciliée
Chante, tu as compris qu’il sera toujours à tes côtés
Je sais que ton canal lacrymal
Est près d’être tari
Déjà, tu souris
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11. |
Envole-toi
04:11
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|||
Envole-toi
Avant toi me masquer de la désinvolture
Avant toi vénérer une absurde imposture
Avant toi convoler en petites aventures
Avant toi éviter de m’offrir en pâture
Avant toi redouter toujours d’être blessé
Avant toi angoissé de me laisser aller
Avant toi apeuré de devoir m’engager
Avant toi effrayé dès qu’il s’agit d'aimer Avant toi
Envole-toi mon amour
Mon assoiffée d’azur
Envole-toi mon amour
Transforme tes blessures
Envole-toi, envole-toi
Envole-toi mon amour
Laisse pousser tes ailes
Envole-toi mon amour
Pour visiter ton ciel
Envole-toi, envole-toi
Avec toi j’ai tenté d’aimer jusqu’à l’extrême
Avec toi déjouer tous les stratagèmes
Avec toi j’ai osé dire mille et un “je t’aime”
Avec toi j’ai risqué ma vie dans un poème
Avec toi m’enivrer de caresses en promesses
Avec toi me droguer d’une fausse allégresse
Avec toi m’enfoncer de tristesse en détresse
Avec toi décliner la déesse en diablesse
Avec toi
Envole-toi mon amour
Mon assoiffée d’azur
Envole-toi mon amour
Transforme tes blessures
Envole-toi, envole-toi
Envole-toi mon amour
Laisse pousser tes ailes
Envole-toi mon amour
Pour visiter ton ciel
Envole-toi, envole-toi
Après toi j’ai eu peur de la moindre aventure
Après toi par malheur j’ai remis mon armure
Après toi par aigreur vénérer l’imposture
Après toi par bonheur j’ai soigné mes blessures
Après toi mon amour je me suis envolé
Après toi… vers mon ciel étoilé
Après toi… je me suis libéré
De la peur mon amour, j’ai appris à aimer
Après toi
Envole-toi mon amour
Mon assoiffée d’azur
Envole-toi mon amour
Transforme tes blessures
Envole-toi, envole-toi
Envole-toi mon amour
Laisse pousser tes ailes
Envole-toi mon amour
Pour visiter ton ciel
Envole-toi jusqu’à toi
|
||||
12. |
Encore une fois
03:45
|
|||
Encore une fois
Encore une fois
Prendre le chemin de l’amour
Encore un jour
Prendre le chemin de la foi
Encore une joie
Prendre le chemin du “toujours”
Encore un tour
Sur ce chemin où il y a toi
Combien j’ai eu mal
Odieux point final
Dans tous les recoins de mon corps
Mon âme aigrie
Mon cœur meurtri
Je n’avais plus d’envie, plus de vie
J’étais mort, je n’avais plus d’encore
Encore une fois
Prendre le chemin de l’amour
Encore un jour
Prendre le chemin de la foi
Encore une joie
Prendre le chemin du “toujours”
Encore un tour
Sur ce chemin où il y a toi
Cette exécution
Point d’exclamation
A endeuillé tout mon destin
Devenu ennemi
Banni maudit
Je n’avais plus d’envie plus de vie
Plus de lien sans but et sans chemin
Encore une fois
Prendre le chemin de l’amour
Encore un jour
Prendre le chemin de la foi
Encore une joie
Prendre le chemin du “toujours”
Encore un tour
Sur ce chemin où il y a toi
Un nouveau regard
Croisé par hasard
Jeta sur moi un joli sort
Ton invitation
Points de suspensions…
Une nouvelle envie, nouvelle vie
Chance en or qui me sourit encore
Encore une fois
Prendre le chemin de l’amour
Encore un jour
Prendre le chemin de la foi
Encore une joie
Prendre le chemin du “toujours”
Encore un tour
Sur ce chemin où il y a toi
|
Yor Pfeiffer France
Yor Pfeiffer est romancier, chroniqueur, comédien et auteur-compositeur, interprète.
Après plusieurs
EP, il sort l’album “Maintenant” en juin 2020, suivi du clip “Maintenant” en 2022 et l’album “Envole-toi” en janvier 2023, accompagné des clips “Protège-moi” et “Il est des moments dans ta vie”. Quatre autres clips de l’album sont en préparation.
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